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LES  ULTRAS  DE  LA  MAIRIE

Le comportement des élus de ''Bien vivre à La Salvetat'' en Conseil Municipal est consternant.

Voila plus de dix ans qu'ils sont élus, leur stratégie n'a pas changée.

En choisissant de faire de l'obstruction systématique, d'agiter le chiffon rouge, de vociférer, de menacer et pour finir, pratiquer la politique de la chaise vide, nos collègues de l'opposition apparentés communistes, ont choisi d'afficher leur plus mauvais côté,         CELUI  DE  LA  HAINE  AU  LIEU  DE  LA  RAISON.

Toutes ces agitations sont en fait le signe évident d'un manque d'arguments et de raisonnements constructifs dans toutes les démarches engagées contre la majorité municipale.

Cela démontre aussi un manque de respect pour leurs électeurs, et pour tous les élus, quelles que soient leurs opinions politiques.

Mme Andrau, Mme Renard, Mrs. Lumeau et Bergougniou n'ont toujours pas accepté les résultats des dernières élections municipales de mars 2008, et des enquêtes publiques sur de nombreux projets.

Ils  parlent beaucoup de démocratie, mais  remettent en cause continuellement les résultats  qui  ne leurs sont pas favorables.

C'est dommage.

Après avoir tenté d'annuler les dernières élections municipales, sans succès, après avoir engagé de nombreux recours auprès du Tribunal Administratif, interpellé les parlementaires et les élus de la région toulousaine en jetant le discrédit sur la majorité en place, toujours sans succès, à rameuter tous ceux qui sont contre la mairie pour perturber le fonctionnempent du Conseil Municipal, ils n'hésitent plus maintenant à faire appel au Préfet pour tenter de faire modifier les décisions prises en Conseil Municipal, toujours sans résultats.

Où s'arrêteront-ils? nul ne le sait.

Avec de telles méthodes, en tentant de se faire passer pour des victimes, ces sympathisants communistes, perdent tout crédit et persistent à vouloir rester dans une opposition improductive et irréaliste.

C'est non seulement consternant, mais  politiquement accablant.

Il est difficile d'imaginer qu'ils puissent un jour changer !

Philippe Dauvel